Saison 2025-26

L’élégance de Mozart et la mélancolie de Tchaïkovski par les pupitres Viennois et Franz Welser-Möst.

La virtuosité de Lisa Batiashvili dans Beethoven et les cordes munichoises pour Schubert et Wagner.

Martin Helmchen retrouve l’Orchestre de chambre de Paris pour un nouveau concerto de l'un des fils de Mozart.

Joséphine Baker revisitée par Germaine Acogny et Le Sacre du printemps de Pina Bausch interprété par des danseurs africains.

Quand le clavier jazz de Thomas Enhco s’aventure chez Mozart.

Adèle Charvet prête sa voix à la musique du Paris des années 20-30 de Joséphine Baker.

Max-Emanuel Cenčić en majesté pour le rare Pompeo Magno de Francesco Cavalli.

Imposant programme pour Alexander Melnikov avec Mozart et Chostakovitch.  

Une soirée en hommage à la figure iconique et au parcours de Joséphine Baker.

C’est l’histoire d’un roi bougon, autoritaire et jaloux qui régnait sur un petit peuple de musiciens. 

Evgeny Kissin en bonne compagnie avec Joshua Bell et Steven Isserlis pour un nouveau rendez-vous chambriste.

La sublime et poignante Theodora de Haendel.

Un rare Vivaldi mené de mains de maître par Emiliano Gonzalez Toro.

Igor Levit au cœur de son répertoire de prédilection.

La voix et le charme de Joyce DiDonato pour fêter Mahler(s) et Strauss.

Franco Fagioli explore toute la diversité de sa voix, du baroque au bel canto.

Le talent n’attend pas les années et la jeune Arielle Beck en est un parfait exemple.

Un pur joyau du baroque anglais pour conter la Grande Histoire du Royaume-Uni.

Nikolaï Lugansky, Charles Berling et l’Orchestre National de Lille fêtent Ravel.

Un concert hanté et pimenté à la sauce Halloween.

Goethe et Berlioz pour l’un des chefs-d’œuvre du romantisme français. 

Le piano de Jonathan Biss pour les trois dernières sonates de Beethoven, sommet du genre.

L’un des plus beaux portraits féminins Haendéliens sous la baguette de Philippe Jaroussky.

Une magnifique démonstration de polyphonie et l’un des sommets de la musique sacrée de Mozart.

Le chef Harry Ogg et le compositeur Bechara El-Khoury commémorent le souvenir des attentats de novembre 2015.

Un concert d'une heure autour de la Symphonie n° 39 de Mozart proposé par l'Orchestre de chambre de Paris.

Les Siècles au cœur de leur répertoire de prédilection, de Berlioz à la création contemporaine.

Une fête chambriste entre amis.

La truculente poésie d’Offenbach servie par le tandem Marc Minkowski – Laurent Pelly.

Le rare Oratorio de Saint Saëns porté par Thomas Hengelbrock et les forces de l’Orchestre de chambre de Paris.

Un moment de fête mêlant chefs-d’œuvre classiques et certains des plus beaux chants de Noël.

Le Quatuor Diotima pour une exploration du quatuor au XX^e siècle et au-delà !

Le sud-coréen Seong-Jin Cho, rare en France, n’en reste pas moins un interprète sachant mêler sobriété et poésie.

Un Broadway family show pour Natalie Dessay et Laurent Naouri.

Le Messie ou toute la splendeur de l’écriture chorale de Haendel.

Le Père Noël viendra-t-il au Pays des Éléphants ?

Toute la splendeur du timbre de Pretty Yende pour célébrer Noël en chansons.

Philippe Jaroussky au cœur de la cantate italienne baroque.

Le « National » se consacre à Rachmaninov avec son ultime symphonie et son poème symphonique Les Cloches.

Angelin Preljocaj s’empare avec brio du « classique » Lac des cygnes.

La version vivaldienne de l’histoire du Prince Tamerlano incarné par Carlo Vistoli.

Une Grande Voix, Sonya Yoncheva, pour une soirée dédiée à Puccini et Verdi.

« Casta diva », Karine Deshayes et toutes les beautés vocales du chef-d’œuvre du répertoire bel canto.

Nouveau rendez-vous en toute complicité pour Les Siècles et Bertrand Chamayou.

Catherine Trottmann et Alex Vizorek nous convient à un bal viennois.

Le nouveau rendez-vous dominical du trio Wanderer en terres françaises.

Le concert des lauréats des Diapason d’Or 2025.

Chen Sa est la grande pianiste classique chinoise de sa génération et trop rare en France.

Le « classique » de Prokofiev raconté par Alex Vizorek et illustré par Grégoire Pont.

L’alto de Tabea Zimmermann et la baguette de Gábor Káli pour célébrer le centenaire Kurtág.

Alice Sara Ott nous invite à (re)découvrir John Field, le compositeur à l’origine de la forme du nocturne.

Un spectacle onirique pour petits et grands imaginé par la cheffe et réalisatrice Alondra de la Parra et la clown Gabriela Muñoz.

Une fête de famille des Casadesus pour un anniversaire en fanfare.

Francesco Piemontesi à l’assaut de deux sommets du clavier de Schubert et Liszt.

Renaud et Gautier Capuçon, le gratin des instrumentistes français et la « tsarine » Martha Argerich.

Evgeny Kissin en pleine maturité face à ses fondamentaux et l'une des figures les plus méconnues du XX^e siècle russe.

Le retour de Carolyn Carlson et sa dernière pièce The Tree.

Le Quatuor Diotima en bonne compagnie avec le violoncelliste Victor Julien-Laferrière.

L’un des ouvrages les plus accomplis de Haendel où la puissance de l’amour souveraine est ici servie par une équipe de haut vol.

L’adaptation pour le jeune public de l’histoire de Roméo et Juliette d’après Gounod.

L’adaptation pour le jeune public de l’histoire de Roméo et Juliette d’après Gounod.

Kristina Mkhitaryan et Aigul Akhmetshina, deux voix complices déjà brillantissimes.

L’une des plus « brulantes » figures romantiques imaginée par Cherubini.

Le piano d’Anne Queffelec aux côtés du Quatuor Hanson et de la contrebasse d'Etienne Durantel. 

Ning feng, Edgar Moreau et Nelson Goerner pour une belle démonstration de complicité musicale.

Un mythe éternel magnifié par Gounod servi par une distribution de haut vol.

Le phénomène Yoav Levanon pour un programme Chopin, Rachmaninov, Schumann et Couperin.

Le clarinettiste Pierre Genisson en compagnie du Quatuor Strada pour un programme aussi original qu’ambitieux.

Effet miroir aux résonances contemporaines où Poulenc «dialogue» avec le compositeur Thierry Escaich.

David Fray et son cher Bach puis en terres romantiques.

L’Orchestre de chambre de Pris retrouve Maxim Emelyanychev pour une soirée 100% française.

Un nouveau récital avenue Montaigne de Dmitry Masleev, étoile montante de l’école russe du piano.

Après son hommage à Ravel de l’automne, retour au récital en solitaire pour Nikolaï Lugansky.

Haendel et l’Arioste pour l’une des plus émouvantes pages de Haendel.

Gautier Capuçon et ses Jeunes protégés de son Académie pour des premiers pas forcément pas comme les autres.

La grande fantaisie zoologique de Saint-Saëns qui enchante petits et grands.

Le retour de l’Orchestre de Birmingham pour deux pages majeures du répertoire russe.

La pianiste Anna Vinnitskaya entre la virtuosité de Scriabine et les couleurs de Ravel.

L’Ascanio juvénile de Mozart et déjà toutes les promesses de la maturité à venir.

Le répertoire en majesté de Bach à Franck Martin sous la baguette de Thomas Hengelbrock. 

Toute la délicatesse de Purcell et le lamento de Didon incarné par Véronique Gens.

Marina Viotti s’empare du redoutable prophète « hors nomes » de Meyerbeer.

Page testamentaire où Bach déploie toute la variété de son art choral.

Le Requiem de Mozart où quand la légende rehausse la dimension spirituelle.

L’invitation de Jean-Christophe Spinosi à explorer les chemins de la musique de Cordoue à Jérusalem.

L’une des pages majeures de l’histoire de la musique sacrée.

Le rendez-vous annuel avec Grigory Sokolov. Programme à découvrir plus tard mais toujours le rituel des 6 bis.

La Saint Matthieu, l’’autre grande page sacrée de Bach après la Saint Jean.

Somptueux point d’orgue de l’oratorio classique, La Création rayonne également par les frémissements du préromantisme à venir.

André Marcon pour une soirée miroir où dialoguent Bach fils et Beethoven.

Nikolay Khozyainov avec Chopin, Scriabine et ses propres compositions.

Saint-Saëns revisité par le jazz.

Trois créations françaises Crystal Pite, Medhi Walerski et Johan Inger par les danseurs du Ballet BC de Vancouver.

Yannick Nézet-Seguin poursuit son épopée wagnérienne avec Siegfried.

Jonas Kaufmann dans l’opérette viennoise, un moment de plaisir à déguster sans modération.

Après leur succès dans Tutu, une version 2.0 de la Carmen de Bizet par la troupe Chicos Mambo.

Les délices amoureux au royaume de Jupiter sous la baguette de Sébastien Daucé.

Nelson Goerner pour un voyage européen du clavier.

Le solaire Pene Pati en chanteur napolitain.

Lea Desandre et Huw Montague Rendall, la jeunesse et le talent réunis pour Mozart et Rossini.

Edgar Moreau et David Kadouch explorent des pages méconnues de Rachmaninov, Dvořák et Chopin.

Sunwook Kim en solitaire pour célébrer Haydn, Schumann et Schubert.

L’Enlèvement ou règne faux exotisme et esprit juvénile caractéristique du jeune Mozart.

Le Chant de la Terre est l’une des pages les plus célèbres et bouleversantes de Mahler.

Le souvenir du séjour italien de Haendel dans l’exercice de la cantate.

Le Quatuor Diotima et Beethoven à l’acmé de son art chambriste.

S'il ne devait rester qu'un opéra de Haendel, nul doute qu'Ariodante aurait toutes les faveurs.

Rafał Blechacz en parfaite osmose musicale avec Mozart, Beethoven et naturellement Chopin.

Une soirée tout en apesanteur spirituelle avec Haendel et Vivaldi menée par Marc Minkowski.

Le « tube » de Vivaldi pour une expérience immersive et participative inédite.

Soirée haute en couleurs et vocalises avec Marina Viotti et ses invités « surprise ».

Bach et les Quatre Saisons de Vivaldi pour fêter l’été à venir.

Un « tube » et une légende du baroque italien honoré par un duo rompu à ce répertoire exigeant. 

L’attachant Bertrand Chamayou en terres romantiques.

Récital piano-chant pour la Diva russe.

Le traditionnel rendez-vous de Radio Classique pour célébrer l’arrivée de l’été en musique.

Un festival consacré à Hans van Manen par la troupe du Dutch National Ballet d’Amsterdam.

Le clavier d'András Schiff pour célébrer Haydn, Mozart et Schubert.

Le chef-d’œuvre de l’opéra américain de l’entre-deux guerres et un Summertime devenu culte.