Opéra

Max-Emanuel Cenčić en majesté pour le rare Pompeo Magno de Francesco Cavalli.

La sublime et poignante Theodora de Haendel.

Un rare Vivaldi mené de mains de maître par Emiliano Gonzalez Toro.

Un pur joyau du baroque anglais pour conter la Grande Histoire du Royaume-Uni.

Goethe et Berlioz pour l’un des chefs-d’œuvre du romantisme français. 

L’un des plus beaux portraits féminins Haendéliens sous la baguette de Philippe Jaroussky.

Une magnifique démonstration de polyphonie et l’un des sommets de la musique sacrée de Mozart.

La truculente poésie d’Offenbach servie par le tandem Marc Minkowski – Laurent Pelly.

Le rare Oratorio de Saint Saëns porté par Thomas Hengelbrock et les forces de l’Orchestre de chambre de Paris.

Le Messie ou toute la splendeur de l’écriture chorale de Haendel.

La version vivaldienne de l’histoire du Prince Tamerlano incarné par Carlo Vistoli.

« Casta diva », Karine Deshayes et toutes les beautés vocales du chef-d’œuvre du répertoire bel canto.

L’un des ouvrages les plus accomplis de Haendel où la puissance de l’amour souveraine est ici servie par une équipe de haut vol.

L’une des plus « brulantes » figures romantiques imaginée par Cherubini.

Un mythe éternel magnifié par Gounod servi par une distribution de haut vol.

Effet miroir aux résonances contemporaines où Poulenc «dialogue» avec le compositeur Thierry Escaich.

Haendel et l’Arioste pour l’une des plus émouvantes pages de Haendel.

L’Ascanio juvénile de Mozart et déjà toutes les promesses de la maturité à venir.

Toute la délicatesse de Purcell et le lamento de Didon incarné par Véronique Gens.

Marina Viotti s’empare du redoutable prophète « hors nomes » de Meyerbeer.

Page testamentaire où Bach déploie toute la variété de son art choral.

Le Requiem de Mozart où quand la légende rehausse la dimension spirituelle.

L’une des pages majeures de l’histoire de la musique sacrée.

La Saint Matthieu, l’’autre grande page sacrée de Bach après la Saint Jean.

Somptueux point d’orgue de l’oratorio classique, La Création rayonne également par les frémissements du préromantisme à venir.

Yannick Nézet-Seguin poursuit son épopée wagnérienne avec Siegfried.

Les délices amoureux au royaume de Jupiter sous la baguette de Sébastien Daucé.

L’Enlèvement ou règne faux exotisme et esprit juvénile caractéristique du jeune Mozart.

Le souvenir du séjour italien de Haendel dans l’exercice de la cantate.

S'il ne devait rester qu'un opéra de Haendel, nul doute qu'Ariodante aurait toutes les faveurs.

Une soirée tout en apesanteur spirituelle avec Haendel et Vivaldi menée par Marc Minkowski.

Un « tube » et une légende du baroque italien honoré par un duo rompu à ce répertoire exigeant. 

Le chef-d’œuvre de l’opéra américain de l’entre-deux guerres et un Summertime devenu culte.